Vos empreintes biodiversité grâce au Global Biodiversity Score !
Blooming devient consultant agréé par CDC Biodiversité(*) pour accompagner les entreprises dans la mesure de leurs impacts sur la biodiversité, avec le Global Biodiversity ScoreTM
Une attente des parties prenantes en général et des investisseurs en particulier
Les performances RSE des entreprises sont devenues des déterminants de leur réussite sur leurs marchés. Elles y conditionnent leur attractivité, en termes d’image, de compétitivité ou de performance économique et financière.
Les entreprises se doivent de susciter l’adhésion de leurs parties prenantes (clients, fournisseurs, employés, financeurs, etc.), sans lesquelles elles ne pourraient assurer leur prospérité et leur pérennité.
Or, ces parties prenantes attendent des engagements RSE de plus en plus solides de leur part… quitte à les écarter lorsque ces exigences ne sont plus satisfaites, ou lorsqu’elles peuvent l’être mieux ailleurs !
Les investisseurs constituent une catégorie de parties prenantes particulièrement regardante.
Au travers de critères ESG propres au monde de la finance, ils évaluent très scrupuleusement les performances RSE des entreprises dans lesquelles ils ont des intérêts ou pourraient avoir des intérêts. Le climat et la biodiversité y occupent une place croissante et deviennent des critères essentiels dans leur choix d’investissements et dans la valorisation de leurs actifs en portefeuilles.
Cette attitude est guidée par la nécessité de faire face aux menaces qui pèsent sur l’économie. La motivation des investisseurs peut être résumée par le fait que plus une entreprise est vertueuse, moins elle présente de risques.
Au même titre que le climat, la biodiversité mobilise donc désormais le monde économique et financier.
Agir pour la biodiversité, sur toute sa chaîne de valeur, devient pour chaque entreprise un élément différenciant pour se démarquer auprès des investisseurs.
La mesure de l’empreinte biodiversité des entreprises sur leur chaîne de valeur correspond à une demande croissante des investisseurs.
Pour y répondre, Blooming utilise le Global Biodiversity ScoreTM (GBS), développé par CDC Biodiversité. Conçu avec le concours d’acteurs industriels et financiers de référence, cet outil bénéficie d’une caution des mondes scientifique, économique et financier.
A l’instar de l’empreinte sur le climat, mesurée en tonnes équivalent carbone (teqCO2), l’empreinte biodiversité a sa propre unité de mesure, la MSA.m2(**), utilisée par l’outil GBS. Un impact de 1 MSA.m² exprime le fait d’avoir converti un mètre carré d’un espace naturel intact (par ex. de forêt vierge) en un espace totalement artificialisé et sans vie (par ex. de parking goudronné).
L’empreinte biodiversité couvre toute la chaîne de valeur de l’entreprise, sur laquelle sa mesure est segmentée. Elle distingue les impacts directs des impacts indirects et différencie ces impacts en fonction des grands facteurs de pressions exercées par l’homme sur la biodiversité : changement d’usage des sols, consommation des ressources, pollutions, et changement climatique.
Ces différentes composantes sont finalement agrégées en une mesure transversale de l’empreinte de l’entreprise, qui peut alors servir de point de départ à une démarche d’amélioration continue.
Celle-ci se décline par exemple par l’élaboration de plans de réduction d’impacts, amenés à être intégrés à la feuille de route stratégique de l’entreprise.
Un contexte règlementaire qui se durcit autour du reporting biodiversité
Avec le Plan Biodiversité de 2018, les pouvoirs publics ont ouvert la voie à une généralisation de la mesure par les entreprises de leur empreinte sur la biodiversité.
Le récent décret n° 2021-663, publié le 27/05/2021, crée un premier jalon contraignant pour les sociétés de gestion de portefeuilles. A compter de 2022, celles-ci seront tenues de traiter la question des impacts et dépendances de leurs actifs vis-à-vis de la biodiversité dans leurs déclarations ESG.
Elles devront y présenter leur « stratégie d’alignement avec les objectifs de long terme liés à la biodiversité, en précisant le périmètre de la chaîne de valeur retenu, qui comprend des objectifs fixés à horizon 2030, puis tous les cinq ans » et y faire mention de « l’appui sur un indicateur d’empreinte biodiversité ».
Pour y parvenir, ces sociétés de gestion devront donc obtenir de la part des entreprises de leurs portefeuilles la remontée de leur mesure d’empreinte biodiversité.
Une cascade vertueuse se mettra ainsi en place, au bénéfice des investisseurs, des entreprises et de la biodiversité !
(*) : https://www.cdc-biodiversite.fr/
(**) : MSA = Mean Species Abundance (Abondance Moyenne des Espèces)
Blooming vous accompagne pour élaborer votre stratégie Biodiversité :